Cameroun : Mvondo Ayolo communie avec l’Eglise presbytérienne camerounaise orthodoxe

En qualité de représentant personnel du chef de l’Etat à la 55^ème Assemblée générale de l’Eglise presbytérienne camerounaise orthodoxe, le directeur du cabinet civil de la Présidence de la République a apporté joie et partage à ce conclave fort couru.

C’est dans un contexte marqué par des rumeurs de remaniement ministériel annoncé, la reprise des affaires portant sur la lutte contre les détournements des fonds publics, ou encore le lynchage de sa personnalité que le ministre, directeur du cabinet civil de la Présidence de la République, s’est rendu au nom du chef de l’Etat, Paul Biya, dans la localité de Nsesom, arrondissement d’Ambam, département de la Vallée-du-Ntem, région du Sud, à l’effet d’assister aux travaux de la  55^ème Assemblée générale de l’ l’Eglise presbytérienne camerounaise orthodoxe (EPCO).

Ce jour-là, le haut-commis de l’Etat, diplomate, dans une discrétion dont il a seul le secret, a ébloui la cérémonie de sa présence et mis le parterre de pasteurs et de concélébrant dans une ambiance empreinte de paix. Le tout dans un climat où certains hommes politiques, apprentis sorciers tapis dans l’ombre, ne se lassent de remettre au goût du jour, leurs velléités de contrôle des affaires de l’Etat.

Car, faut-il le rappeler pour le souligner, l’activisme de supposés influenceurs prend du terrain, pour mettre au-devant de la scène, diffamer, vilipender, calomnier des hauts commis de l’Etat, se recrutant au sein des proches collaborateurs du chef de l’Etat sous le fallacieux prétexte de la lutte contre la corruption et les détournements de deniers publics. Pourtant, dans leur volonté manifeste et funeste de nuire, ces hommes politiques trainent de nombreuses casseroles, caractérisées par des actes de gabegie et de détournements de fonds publics à ciel ouvert.

Samuel Mvondo Ayolo, le ministre, directeur du Cabinet civil à la présidence de la République, cible d’une interminable cabale d’une cohorte de francs-tireurs et de d’agités en bande organisée, déterminés dans leurs ambitions démesurées de s’accaparer les rênes du pays, garde un flegme à toute épreuve. Ainsi donc, au moment où plusieurs collaborateurs du chef de l’Etat ont plongé leur réflexion de tous les instants, dans sa succession à la tête de l’Etat, le seul crime de son ministre directeur du Cabinet civil est sa loyauté indéfectible à l’homme du 6 novembre 1982, Paul Biya.

La bande de haineux et d’aigris, décidés à divertir le peuple en inventant toutes sorties d’avanies à son sujet, ne se fatiguent pas de mentir de manière éhontée sur un serviteur loyal et fidèle de la République et de son chef. Le tout, au moment où ils lui prédisent des moments difficiles au sein de l’appareil et diffusent des mensonges sur sa supposée mise à l’écart par le président de la République, c’est alors que celui-ci n’a de cesse de les prendre à contre-pied en lui confiant des dossiers sensibles et des missions délicates où la république sort toujours grandie.■

Prosper AKPOVI