
Autre signe du climat politique tendu, Bassirou Diomaye Faye, secrétaire général du parti présidé par Ousmane Sonko, a été arrêté vendredi soir après avoir posté un message sur Facebook critiquant la célérité excessive, selon lui, de la procédure dans le procès en appel de M. Sonko.
M. Sonko et ses supporteurs accusent le pouvoir d’instrumentaliser la justice pour l’empêcher de se présenter à la présidentielle de 2024. Le parti présidentiel accuse de son côté M. Sonko de vouloir paralyser le pays et de se servir de la rue pour échapper à la justice.
En mars 2021, la mise en cause de M. Sonko dans une autre affaire de viols présumés, et son arrestation sur le chemin du tribunal avaient contribué à déclencher les plus graves émeutes depuis des années dans le pays. Elles avaient fait au moins une douzaine de morts. Le procès n’a pas encore eu lieu.
Le président Macky Sall, élu en 2012 et réélu en 2019, reste muet sur ses intentions au sujet de la présidentielle de février 2024, pour laquelle une vingtaine de candidats se sont déjà déclarés.
Autre signe du climat politique tendu, Bassirou Diomaye Faye, secrétaire général du parti présidé par Ousmane Sonko, a été arrêté vendredi soir après avoir posté un message sur Facebook critiquant la célérité excessive, selon lui, de la procédure dans le procès en appel de M. Sonko.
M. Sonko et ses supporteurs accusent le pouvoir d’instrumentaliser la justice pour l’empêcher de se présenter à la présidentielle de 2024. Le parti présidentiel accuse de son côté M. Sonko de vouloir paralyser le pays et de se servir de la rue pour échapper à la justice.
En mars 2021, la mise en cause de M. Sonko dans une autre affaire de viols présumés, et son arrestation sur le chemin du tribunal avaient contribué à déclencher les plus graves émeutes depuis des années dans le pays. Elles avaient fait au moins une douzaine de morts. Le procès n’a pas encore eu lieu.
Le président Macky Sall, élu en 2012 et réélu en 2019, reste muet sur ses intentions au sujet de la présidentielle de février 2024, pour laquelle une vingtaine de candidats se sont déjà déclarés.
Autre signe du climat politique tendu, Bassirou Diomaye Faye, secrétaire général du parti présidé par Ousmane Sonko, a été arrêté vendredi soir après avoir posté un message sur Facebook critiquant la célérité excessive, selon lui, de la procédure dans le procès en appel de M. Sonko.
M. Sonko et ses supporteurs accusent le pouvoir d’instrumentaliser la justice pour l’empêcher de se présenter à la présidentielle de 2024. Le parti présidentiel accuse de son côté M. Sonko de vouloir paralyser le pays et de se servir de la rue pour échapper à la justice.
En mars 2021, la mise en cause de M. Sonko dans une autre affaire de viols présumés, et son arrestation sur le chemin du tribunal avaient contribué à déclencher les plus graves émeutes depuis des années dans le pays. Elles avaient fait au moins une douzaine de morts. Le procès n’a pas encore eu lieu.
Le président Macky Sall, élu en 2012 et réélu en 2019, reste muet sur ses intentions au sujet de la présidentielle de février 2024, pour laquelle une vingtaine de candidats se sont déjà déclarés.
Autre signe du climat politique tendu, Bassirou Diomaye Faye, secrétaire général du parti présidé par Ousmane Sonko, a été arrêté vendredi soir après avoir posté un message sur Facebook critiquant la célérité excessive, selon lui, de la procédure dans le procès en appel de M. Sonko.
M. Sonko et ses supporteurs accusent le pouvoir d’instrumentaliser la justice pour l’empêcher de se présenter à la présidentielle de 2024. Le parti présidentiel accuse de son côté M. Sonko de vouloir paralyser le pays et de se servir de la rue pour échapper à la justice.
En mars 2021, la mise en cause de M. Sonko dans une autre affaire de viols présumés, et son arrestation sur le chemin du tribunal avaient contribué à déclencher les plus graves émeutes depuis des années dans le pays. Elles avaient fait au moins une douzaine de morts. Le procès n’a pas encore eu lieu.
Le président Macky Sall, élu en 2012 et réélu en 2019, reste muet sur ses intentions au sujet de la présidentielle de février 2024, pour laquelle une vingtaine de candidats se sont déjà déclarés.